Mon Galaxy S10+.

Je viens de l’acheter, et je dois dire que cela faisait bien longtemps qu’un smartphone ne m’avait pas impressionné de la sorte.

Globalement, c’est une merveille !!! C’est clairement parmi le top de ce que l’ont peu faire à notre époque. Néanmoins, c’était déjà le cas de mon téléphone précédent en son temps « Galaxy S6 edge », pourtant, celui-ci ne m’avait pas impressionné à ce point-là.

3 choses m’ont particulièrement marqué avec cet appareil :

1 : La qualité absolument phénoménale de l’écran.

La dalle Oled est juste absolument parfaite en termes de rendu, de définition, de colorimétrie, de profondeur des noirs, de contraste,…etc., et avec le HDR10, la luminosité atteint des sommets. S’en est véritablement bluffant de beauté.

C’est tout de même la première fois qu’un écran arrive à m’éblouir, au sens propre du terme !!! Une scène en haute définition avec le HDR, comme le soleil ou tout autre source lumineuse forte « un spot par exemple », arrive à avoir un tel rendu fidèle qu’il vous ébloui en regardant l’écran quasiment comme si vous étiez sur place en train de regarder la source lumineuse de vos propre yeux, c’est prodigieux !!!

2 : La partie photo démentielle.

Déjà, car les photos sont HDR10, mais aussi peuvent être réglée sur la définition 4k. Mais surtout grâce à ses 3 capteurs. L’un d’entre eux est spécialisé dans la couleur, l’autre dans le noir et blanc et le troisième dans la basse luminosité. De la même manière, chacun est plus doué que l’autre avec les distances. L’un est plus focalisé sur les distances moyennes, l’autre les grandes distances et le dernier sur les courtes distances. Ce sont donc, à chaque prise, trois images simultanées qui sont capturées et le tout est ensuite assemblé de manière prodigieuse par le téléphone de manière à garantir le meilleur rendu possible.

Et, bien évidemment, cela marche à la perfection. Bien sûr, le visionné ensuite sur le superbe écran sans bord vous laisse littéralement pantois.

3 : Le son.

Pour un téléphone s’entend et toute proportion gardée «  ce ne sont pas des hp d’un bon casque, on est sur bien plus petit encore», les haut-parleurs intégrés son d’une qualité remarquable avec une très belle spatialisation en sus. La puissance est également étonnante, et étant  donné la taille microscopique d’un haut-parleur de smartphone, je trouve ça impressionnant. C’est pour ma part le premier téléphone que je possède qui soit équipé de la stéréo, et celle-ci change véritablement la perception des choses. Mon S6 edge avait pourtant un hp de qualité, mais un seul !! Passer à un appareil encore supérieure et qui en offre deux… J’ai presque envie de dire, vivement qu’ils en possèdent 4 !!!

Le processeur sonore interne à l’appareil, qui permet l’écoute via un casque, est lui aussi remarquable et permet un rendu grandiose. Il se même permet même le luxe de passer au Dolby Atmos pour casque « excusez du peu !!!! ».

Bref, ce produit m’a bluffé. Suffisamment pour que j’en parle ici, c’est vous dire !!!

Ci dessous, des exemples de photos prisent avec « bon évidement, pour se rendre compte de la qualité du cliché, il faut que vous possédiez vous-même un écran de qualité équivalente ou supérieur au S10+. Sinon, c’est une fatalité, vous ne vous en rendrez jamais compte ».

Voici deux vidéos test qui vous permettrons de profiter de toutes les capacités de votre écran si vous en possédez un « n’oubliez pas de régler l’écran au max de sa définition et de mettre le HDR10. »

Le S10 de ma femme.

Voici l'essai fait par les professionnels sur le média "les Numériques".

Dans la famille des S10, voici le modèle "Plus". Téléphone géant, le Galaxy S10+ va tenter de séduire celles et ceux qui cherchent un smartphone grand format, bien construit et qui embarque les toutes dernières technologies disponibles chez le constructeur coréen.

CARACTÉRISTIQUES

• Dimensions157.6 x 74.1 x 7.8 mm
• Poids175 g
• Diagonale d'écran6.4 pouces
• Définition d'écran3040 x 1440
• DPI522
• Type d’écranAmoled

PRÉSENTATION

La série des Galaxy S a 10 ans ! Et pour fêter ça, Samsung a présenté pas moins de trois nouveaux smartphones au sein de sa famille de mobiles haut de gamme. Le S10 "classique", le S10E et le S10+ donc. Ce dernier est le traditionnel mobile "grand format" de chez Samsung qui vient se ranger au côté du Note 9. Au programme, un écran de 6,4 pouces et une pléthore de technologies pour justifier son prix de départ de 1 009 €.

Le Galaxy S10+ et son écran "Infinity"

Face à lui, on retrouve bien évidemment l'iPhone Xs Max, mais aussi le Mate 20 Pro ou d'autres téléphones moins chers, mais tout aussi bien dotés comme le Xiaomi Mi 9 ou le OnePlus 6T. La concurrence est donc féroce et Samsung a une image à honorer.

ERGONOMIE ET DESIGN 

Après neuf générations de Galaxy S, on peut dire que Samsung a eu le temps de raffiner son sens esthétique et ce S10+ est un fier représentant du savoir-faire du constructeur coréen. Tout comme le plus petit modèle, ce S10+ est un petit bijou de design. La coque en verre légèrement arrondie, l'écran qui occupe quasiment 90 % de la face avant, les tranches en métal... tout respire la classe et le sérieux et le mobile offre une excellente prise en main. Avec 175 grammes sur la balance, il est en plus étonnement léger pour son gabarit. Seul petit bémol, le dos en verre attrape très facilement les traces de doigts, ce qui nuit un peu à l'élégance de l'appareil.

Les trois appareils photo du S10+

À noter que le verre de la face avant est un Gorilla Glass 6 tandis que celui de la face arrière est un Gorilla Glass 5. Cela devrait permettre au mobile de résister à quelques rayures et chocs, mais on évitera tout de même de le maltraiter tant l'ensemble paraît malgré tout fragile.

Bien évidemment, avec son imposant écran de 6,4 pouces au format 19:9, il est impossible d'utiliser ce téléphone à une main, mais les personnes ayant fait le choix du modèle "Plus" ont de toute façon déjà abandonné cette idée. Là où cette très grande taille peut poser problème, c'est du côté du placement des boutons. Que ce soit les commandes de volume ou le bouton on/off, tous sont placés trop haut sur la tranche. Le seul bouton réellement accessible est celui qui sert à appeler Bixby. Quant au lecteur d'empreintes, il est placé un peu trop bas. Tout cela n'est pas rédhibitoire, juste un peu bête.

Le bouton Bixby placé sur la tranche gauche qui pousse les boutons de volume trop haut sur la tranche.

Le lecteur d'empreintes, parlons-en d'ailleurs. Placé sous l'écran, ce capteur à ultrasons — supposément plus sécurisé que les capteurs optiques — est malheureusement assez capricieux. Non seulement il est plus long que ce qu'on peut trouver sur un OnePlus 6T par exemple, mais il est aussi plus capricieux et échoue plus souvent qu'un capteur traditionnel. Une fois le coup de main pris, ça va mieux, mais on sent que la technologie a besoin d'évoluer.

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Un écran massif qui occupe 89 % de la surface avant

Côté technique, Samsung a mis les moyens. Le téléphone est certifié IP68 et supportera donc un bain accidentel. Il peut également accueillir deux cartes SIM (ou une SIM + une microSD), on retrouve la compatibilité NFC, un port USB-C, la charge sans-fil, et même la possibilité de l'utiliser comme station de recharge sans fil pour vos accessoires (montres connectées ou écouteurs) ou pour les mobiles de vos amis. La prise jack est encore de la partie. Bref, Samsung a embarqué dans son S10+ un maximum de technologie.

La prise mini-jack, le port USB-C et un des haut-parleurs du Galaxy S10+.

Un rapide mot enfin sur les modules photo intégrés à l'écran. Cette "paire d'yeux" située en haut à droite s'oublie très rapidement et ne gêne nullement l'utilisation puisque toutes les applications semblent s'en accommoder. En plus de ça, contrairement à certaines encoches, cette excroissance laisse beaucoup de place pour l'affichage de notifications. Rien à craindre donc, l'écran "Infinity O" — comme l'appelle Samsung — est tout à fait bien pensé.

ECRAN 

En parlant de l'écran d'ailleurs, celui du Galaxy S10+ — comme celui du Galaxy S10 — est proche de la perfection. Cela n'étonnera pas ceux qui ont suivi attentivement le marché du mobile ces dernières années tant Samsung a maintes fois fait montre de sa maîtrise dans le domaine. Une chose change cela dit cette année, Samsung est passé du "Super Amoled" au "Dynamic Amoled". Une distinction technologique qui a surtout à voir avec la compatibilité HDR10+ de l'écran puisqu'on retrouve le même arrangement des sous-pixels (en Pentile) et les mêmes excellents résultats auxquels Samsung nous a habitués.

Un écran calibré au poil dès la sortie de boîte.

Côté colorimétrie, c'est un sans-faute. Dans le mode par défaut, le Delta E pointe à 2,1 et la température des couleurs à 6 600 kelvins environ. Des relevés proches de la perfection en somme. À noter d'ailleurs que le téléphone est pour une fois réglé d'emblée sur le mode d'affichage "naturel" qui livre ces excellents résultats. Les amateurs et amatrices de couleurs plus pétantes pourront toujours choisir le mode "vif" disponible dans les paramètres d'affichage. 

COLORIMÉTRIE

Delta E = 2,1

Pour ce qui est de la lisibilité, c'est également impeccable. Le contraste est "infini" — merci l'Oled —, La luminosité maximale dépasse les 1 000 cd/m² et la minimale descend jusqu'à 2,1 cd/m². Deux résultats qui garantissent une utilisation confortable sous le soleil ou au fond de son lit. Surtout que l'écran n'attrape pas trop les reflets.... une fois la protection d'écran ôtée.

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Pas de souci à l'utilisation, la rémanence est nulle — encore merci l'Oled — et le retard tactile s'établit à 80 ms environ. Pas de quoi percevoir de lag à l'usage. Enfin, la définition Full HD+ (2 280 x 1 080 px) est amplement suffisante pour naviguer avec aisance sur le web et au sein de l'OS. Il est possible sinon de basculer sur la définition WQHD+ (3 040 x 1 440 px), mais cela consommera un peu plus de batterie. On préférera garder cette option pour d'éventuelles sessions de jeux en réalité virtuelle.

PERFORMANCES 

Armé de la toute nouvelle puce mobile Exynos 9820  Made in Samsung et de 8 ou 12 Go de RAM, le Galaxy S10+ est — comme on pouvait s'y attendre — un monstre de puissance. Jamais un ralentissement ne s'est fait sentir lors de notre utilisation. On passe d'une appli à l'autre rapidement et sans accroc et on jongle avec toutes les tâches les plus lourdes sans soucis. C'est un vrai plaisir.

Chauffe après 10 minutes d'utilisation du couple CPU/GPU.

Mais cette débauche de puissance a un coût et c'est celui de la chauffe. Le S10+ chauffe souvent et parfois pour pas grand-chose. Il suffit que quelques apps se mettent à jour en arrière-plan et qu'on traîne sur Twitter pour que le téléphone commence à faire légèrement grimper le mercure. Pas de quoi se brûler les doigts évidemment, mais suffisant pour être remarqué. Après 10 minutes d'utilisation intense du couple CPU/GPU on atteint tranquillement les 40 °C. Au quotidien, cela reste tout à fait supportable, mais c'est étrange de voir un tel comportement sur un téléphone haut de gamme alors que la concurrence parvient à garder la tête froide.

En jeu, le S10+ se débrouille à merveille, faisant tourner n'importe quel titre du Play Store avec une fluidité impeccable et des graphismes de haut niveau. Ajoutez à ça un écran massif et vous obtenez un terminal vidéoludique de qualité.

AUDIO 

Quasiment dernier mobile Android haut de gamme à être doté d'une prise jack, le Galaxy S10+ livre en plus une expérience d'écoute impeccable. La puissance est suffisante pour alimenter même les casques les plus énergivores et la scène sonore est en plus large et bien marquée. La distorsion est en outre quasi nulle et achève de faire de faire ce cette mini-jack un connecteur de qualité. Merci Samsung.

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Les deux haut-parleurs qui équipent le S10+ font quant à eux également du très bon boulot. La scène stéréo est étonnamment large et surtout naturelle. La puissance est en plus généreuse et la distorsion fort bien contrôlée. Bref, on est dans le haut du panier des smartphones, à n'en point douter.

PHOTO 

La photo est l'un des aspects vantés par Samsung lors de sa présentation des Galaxy S10. Il faut dire qu'avec pas moins de trois modules à l'arrière, il y en a des choses à raconter. L'appareil photo "principal" pointe à 12 Mpx (comme sur le S9), profite d'une ouverture variable (f/1,5 ou f/2,4) et d'un capteur de 1/2,5 pouce. On retrouve aussi un module ultra grand-angle avec angle de champ de 123° (équivalent 16 mm en 24x36), capteur de 1/3,1 pouce de 16 Mpx et un objectif ouvrant à f/2,2. Enfin, le troisième est un "zoom 2x" (équivalent 52 mm en 24x36) de 12 Mpx avec capteur de 1/3,1 pouce et ouverture à f/2,2.

De gauche à droite : le module zoom, le “standard” et l'ultra grand-angle.

Une avalanche de chiffres pour bien faire comprendre que le téléphone est capable de "maîtriser toutes les situations." Nous nous sommes déjà attardés sur les capacités du module ultra-grand-angle dans un article dédié et nous nous concentrerons ici sur les performances du capteur principal et du zoom. Mais pour résumer, le S10+ est probablement le smartphone doté du meilleur objectif grand-angle actuellement sur le marché, même si on regrette un effet de déformation assez net et une qualité sur les bords de l'image qui est loin d'être idéale.

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En plein jour, face aux indéboulonnables références que sont les Pixel 3 et Pixel 3 XL, le S10+ s'en sort plutôt bien. Les deux appareils sortent une image impeccable, mais optent pour des traitements différents. Du côté du Pixel, on a une image au contraste et à l'accentuation prononcés alors que le S10 opte pour un traitement plus doux, qui donne certes un côté un peu plus plat à l'image, mais aussi un peu plus chaleureux grâce à un lissage bien maîtrisé. Le S10 a également pour lui une restitution plus fidèle des couleurs face à un Pixel qui a tendance à livrer des tons plus flashy.

Mais le gros problème de ce S10, c'est le manque de piqué sur les bords de l'image. Dès que l'on s'éloigne du centre du cliché, on perd en détail et en netteté, comme on peut le voir dans notre face-à-face. Un défaut regrettable pour un appareil qui est autrement impeccable.



De nuit, c'est la même histoire. Le traitement propre et équilibré du S10 permet de restituer un bon paquet de détails grâce à une accentuation bien maîtrisée et un lissage propre qui gomme le grain qui s'installe sur le Pixel 3 XL par exemple. Seul petit bémol, l'exposition est moins bien gérée que sur le téléphone de Google. Et les bords de l'image perdent aussi nettement en qualité.


Quant au module qui fait office de "zoom 2x", il fait du bon boulot... pour un zoom. La qualité n'est pas irréprochable et présente un léger manque de contraste et de détails, mais le S10+ reste parmi les bons élèves ; sauf en basse luminosité où le téléphone bascule en zoom numérique, avec la baisse de qualité qui l'accompagne.

Un mot sur le duo de capteurs avant puisque c'est l'une des spécificités du S10+ par rapport à son petit frère. Là encore, c'est un capteur "standard"  et un capteur ultra grand-angle qui s'installent. Mais en réalité, la différence d'angle de champ entre les deux est vraiment minime puisque l'un est un équivalent 26 mm en 24x36 et l'autre 22 mm. Vous gagnerez quelques centimètres de rab en passant sur le second capteur, mais guère plus. L'utilité de ce dernier paraît donc discutable. La qualité des photos est bonne, avec une juste restitution des couleurs et un contraste bien maîtrisé qui met le sujet en valeur. 

Les deux capteurs avant du Galaxy S10+

Un mot sur la vidéo : le S10+ n'a aucun mal à capturer des images jusqu'en UHD (3 840 x 2 160 px). Tout est fluide et la mise au point rapide. Mais le vrai petit plus du mode vidéo c'est le "super stabilisateur" qui permet de gommer les tremblements et autres secousses avec une efficacité déconcertante. L'application photo dispose quant à elle d'une pléthore d'options et de paramètres plutôt utiles.

AUTONOMIE 

Malheureusement, l'autonomie vient ternir un tableau qui était jusqu'ici quasi parfait. Malgré sa batterie de 4 100 mAh, le S10+ ne parvient pas à décrocher les cinq étoiles. Entendons-nous, il est facilement aussi bon que la concurrence directe sur ce point, mais face aux marathoniens que sont les Huawei Mate 20 et Honor View 20, le S10+ ne tient pas la distance. A noter que le test a été fait dans la configuration d'affichage par défaut c'est à dire en Full HD+ (2280 x 1080 px).

Dans la pratique, si vous êtes prudent, vous tiendrez deux jours avec le Galaxy S10+. Saluons également une très jolie tenue de la batterie en veille puisqu'en une nuit le téléphone n'a perdu que 3 à 4 % malgré un paquet de notifications reçues. 

Autre petite déception, le S10+ n'est pas doté de la recharge ultra rapide de certains concurrents (comme Oppo ou OnePlus) et le bloc fourni est limité à 15 watts. Il faut donc attendre un peu plus de 1 h 40 min pour recharger complètement le téléphone.

Interface & OS

Les Galaxy S10 sont les premiers téléphones à arriver nativement sous One UI, la nouvelle interface de Samsung. Cette nouvelle philosophie logicielle de Samsung fait la part belle à un design simple, coloré et accessible. Le but de Samsung était d'accoucher d'un design où la plupart des actions peuvent être effectuées à une main, quitte à faire redescendre artificiellement l'interface à coup de grosses typos et d'espaces vides. Et il faut bien avouer que dans l'écosystème Samsung la promesse est tenue, mais dès lors qu'on s'aventure dans une app tierce, la navigation à une main sur l'immense S10 devient impossible. Les goûts et les couleurs ne se discutant pas, on évitera de donner un avis sur le parti-pris esthétique de Samsung.

En revanche, question fonctionnalités, Samsung a bourré son téléphone d'options et d'outils divers. Du clonage d'app (pour surfer sur deux comptes en parallèle) à la navigation par gestes en passant par les dossiers sécurisés ou la réaffectation du bouton Bixby (enfin !), le S10+ regorge de possibilités de personnalisation. Si bien qu'on peut parfois se retrouver presque intimidé devant la pléthore de boutons et de menus disponibles. Les routines Bixby sont aussi de la partie et permettent de déclencher certaines actions selon son emplacement géographique. Un peu à la manière de IFTTT.

Au moment de l'écriture de ces lignes, le téléphone tourne sous Android 9 avec les correctifs de sécurité de février 2019.

POINTS FORTS

• Une construction et des finitions quasi irréprochables.
• Présence d'une prise mini-jack.
• Expérience audio soignée.
• Performances de haute volée.
• Écran à deux doigts de la perfection.
• Pléthore de modules photo de bonne qualité.

POINTS FAIBLES

• Un bouton Bixby à l’utilité toujours douteuse.
• Un capteur d’empreintes sous l’écran à améliorer.
• Une autonomie décente... mais pas au niveau des meilleurs modèles.
• La charge qui pourrait être plus rapide.
• Tendance à chauffer.

CONCLUSION 

Au bout du compte, difficile de ne pas être bluffé par ce Galaxy S10+. Samsung a non seulement mis tout son savoir-faire dans ce téléphone, mais également toutes ses dernières technologies ou presque. Dans un écrin élégant, on retrouve une dalle d'une qualité jamais vue, des performances irréprochables et une pléthore d'appareils photo tous très bon. Pour autant, le téléphone n'est pas exempt de défauts : l'autonomie pourrait être meilleure, l'ergonomie également, et on aurait aimé que la charge ultra-rapide soit de la partie. Des défauts qui ne l'empêchent pas d'être une belle réussite.

Essai : Lesnumériques.com