De la lumière à l’ombre.



Il fut un temps où j’adorais la lumière, je pense d’ailleurs l’avoir mentionné à plusieurs reprises à travers mon blog.

J’ai un besoin vital de lumière, et je ne suis vraiment bien que quand les saisons du printemps et enfin l’été pointe leurs nez.

Haaaaa, le bonheur d’un soleil déjà bien présent dès 5h du matin et le plaisir infini de voir toute cette belle lumière perdurez tard, au-delà parfois de 22h30.

Le plaisir de profité de soirée lumineuse pour se promener, faire des barbecues, profiter quoi….


Mais ça, c’était avant :

Avant d’avoir le malheur de venir vivre ou je vis, avant d’avoirdes voisins dégénérés qui me font tellement vivre un enfer, que le plaisir de cette lumière à laisser place à l’angoisse de ce dire que ce soleil tardif va juste être l’opportunité pour ces connards de me pourrir la vie plus longtemps avec leurs nuisances sonore extrêmes et le vandalisme quotidien de leurs déchets « leurs gamins ».

Ce plaisir si simple de la vie est devenu angoisse et synonyme de souffrance plus longue.  Car, plus les jours rallongent, plus ils restent tard dehors et plus ils vont dormir tard. Me laissant ainsi de moins en moins de répit pour vivre.

J’aimerai tant retrouver le plaisir d’une vie simple, et pouvoir profiter de la lumière tardive avec ce même bonheur qu’auparavant.

Mais, c’est un peu comme le silence…. Ca  fait 10ans que je n’y ai plus eu droit « excepté en fuyant de (chez moi) », et je ne sais si un jour je connaitrais à nouveau cela.

Bref, maintenant j’aime l’automne et l’hiver, car leurs lueurs faiblissantes et leurs températures tombantes m’apportent juste une once de tranquillité en plus.


Photo: Parc de l'abbaye de Val Dieu 2019.

Commentaires